Cette époque, ce mouvement et cette liberté d’Être me rejoignent profondément.
Mes valeurs
Je prône la liberté d’Être dans toutes les sphères de la vie, pour chacun et chacune d’entre nous.
Cette liberté commence par l’amour et l’acceptation de soi, dans notre entièreté — autant notre lumière que notre ombre.
Nous sommes infiniment plus puissants que nous l’imaginons. Pour entrer dans ce que j’appelle « La Zone », cet espace de création alignée où l’on touche au cœur de l’énergie qui nous unit, nous devons être libres dans le cœur, le corps et l’esprit.
Pour moi, la sexualité consciente occupe une place essentielle dans cet équilibre : elle est une force de vitalité, de connexion et d’expansion.
Si j’avais vécu à l’époque de Gatsby, j’aurais été de celles qui osaient Être pleinement elles-mêmes, avec audace, simplicité et fierté — célébrant le plaisir d’Être en vie comme un art sacré.
Voici quelques références tirées du web au sujet d'une femme à l'état d'esprit de Gatsby
"Elles n'ont pas peur de plaire" s'étonnaient les journalistes, "elles n'ont froid ni aux yeux, ni ailleurs, et revendiquent ouvertement leur statut de bombes sexuelles."
"Se sentir bien parce qu'on est le centre de son propre univers, envoyer paître les conventions, s'habiller pour s'affirmer, s'amuser sans culpabilité, voilà les choses qui font de nous des filles, des vraies''
''Aimer son corps," disaient-elles : "Être soi-même sans honte et sans complexe, rejeter tout ce qui limite notre volonté de puissance, voilà la meilleure manière d'être une fille."
Sur un site glorifiant la libération féminine, l'Américain Alex Smits, 34 ans, expliquait à cette époque pourquoi il préférait les Hornies (excitées) aux Barbies (plastifiées) : "Pour moi, la femme idéale n'a pas peur d'afficher ses désirs, ni de choisir ses partenaires, ni de jeter les minables, c'est une femme qui nous pose en face de nos responsabilités, qui nous traite en adultes, sans faire de chantage affectif, sans geindre et sans se sacrifier.."





